Ce lundi 4 septembre, le tribunal de Nice a convoqué le conducteur qui avait causé la mort de Laurène, une jeune fille de 21 ans, en novembre 2022. L’accusé est poursuivi pour homicide involontaire aggravé, en raison de sa conduite en état d’ébriété. Lors de l’accident, sa voiture avait violemment fauché la victime, lui causant des blessures mortelles. La chute de ce destin prometteur avait suscité une vive émotion dans la région. Aujourd’hui, tout le monde s’attend à ce que la justice fasse son travail et rende un jugement équitable. Lorsque la nouvelle de l’annulation de son permis de conduire a été annoncée, le public présent dans la salle du tribunal a manifesté sa satisfaction.
Condamnation à cinq ans de prison ferme pour homicide involontaire aggravé
Le conducteur d’un fourgon ayant mortellement fauché Laurène, une jeune femme de 21 ans, en novembre 2022 à Nice, a été condamné à cinq ans de prison ferme par le tribunal de Nice. Il était poursuivi pour homicide involontaire aggravé et avait déjà été condamné pour des violences et des vols. Le parquet avait requis sept ans de prison ferme. Son permis de conduire a été annulé et il a reçu l’interdiction de le repasser pendant cinq ans. L’Association Collectif Justice Pour Les Victimes De La Route était partie civile dans cette affaire.
Les circonstances de l’accident
Laurène a été renversée alors qu’elle circulait en scooter sur le boulevard Bischoffsheim à Nice. Elle est décédée à l’hôpital des suites de ses blessures quelques semaines plus tard. Le conducteur de la camionnette qui l’a heurtée conduisait sous alcool, sur une chaussée mouillée et en commettant des infractions au Code de la route. Il était également sous bracelet électronique le jour de l’accident.
Une peine de prison ferme pour un homicide involontaire aggravé
La condamnation à cinq ans de prison ferme pour homicide involontaire aggravé est une décision forte qui montre la gravité des faits reprochés au conducteur de la camionnette. Le permis de conduire annulé et l’interdiction de le repasser pendant cinq ans montrent également que la justice est sévère envers les conducteurs qui causent des accidents mortels, en particulier lorsqu’ils ont commis des infractions au Code de la route ou qu’ils conduisent sous l’influence de l’alcool ou de la drogue.
source originale : france3-regions.francetvinfo.fr
mode d’écriture : automatique par IA
