Sébastien Chesbeuf, ancien employé du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques (Cojo), a porté plainte contre la région Paca concernant l’attribution d’un marché public en 2023. Ce marché avait pour but de préparer la candidature pour les Jeux Olympiques d’hiver de 2030. Le plaignant souligne que les conditions d’attribution de ce marché étaient inappropriées et auraient pu entraîner des avantages indus voire des comportements illicites. Cette affaire fait l’objet d’une enquête afin de déterminer si les accusations de Sébastien Chesbeuf sont fondées ou non. Le Cojo, quant à lui, affirme avoir agi en toute transparence et respecté toutes les règles de la commande publique. Ce litige met en lumière les enjeux qui entourent les candidatures pour l’organisation des Jeux Olympiques et la nécessité pour toutes les parties prenantes de respecter les principes d’intégrité et de transparence.
Le directeur général délégué du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojo), Michaël Aloïsio, fait l’objet d’une plainte pour favoritisme et trafic d’influence formulée par un ancien salarié du Cojo, Sébastien Chesbeuf. Ce dernier accuse Aloïsio d’avoir favorisé une entreprise concurrente lors de l’attribution d’un marché public émis en 2023 par la région Paca pour constituer son dossier de pré-candidature pour les JO d’hiver 2030. Le plaignant dénonce des agissements « pénalement répréhensibles » qui ont causé un préjudice grave à sa société. Aloïsio, quant à lui, réfute ces accusations et affirme que les échanges avec la région Paca s’inscrivent dans le cadre de partage d’expériences en vue de leur future candidature pour 2030. Le parquet national financier a confirmé avoir reçu la plainte et l’analyse actuellement.
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