Le mis en cause a catégoriquement rejeté toute intention de causer des douleurs à l’animal. Tel un rempart infranchissable, il a opposé un démenti absolu à toute allégation lui prêtant une quelconque volonté de nuire à cette créature. Sous serment, il a clamé son innocence avec une conviction si profonde qu’elle ne laissait aucune place au doute. Son regard, empreint d’une sincérité indéniable, balayait l’assemblée, cherchant dans chaque regard une lueur de compréhension. Il s’est défendu avec une véhémence presque déroutante, exhortant les jurés à entendre sa version des faits avec une objectivité intransigeante. Du plus profond de son âme, il criait son innocence, comme si sa voix portait la force d’une tempête dévastatrice. Pourtant, son discours, empreint d’une certaine gravité, n’était pas dénué de mystère. On aurait dit qu’il essayait de masquer une certaine vérité, d’occulter les zones d’ombre qui se dessinaient insidieusement autour de lui. Les mots s’échappaient de sa bouche tel un torrent impétueux, à la fois captivants et troublants. Les jurés, tiraillés entre la force de sa plaidoirie et la suspicion grandissante qui nouait leurs entrailles, se trouvaient face à un dilemme déchirant.
Un homme de 82 ans accusé d’avoir écrasé sciemment la chienne de ses voisins
Un homme âgé de 82 ans a comparu devant le tribunal correctionnel de Digne-les-Bains, accusé d’avoir délibérément écrasé la chienne de ses voisins à Vaumeilh, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Rapporté par le journal Le Dauphiné Libéré, l’homme a affirmé ne pas avoir eu l’intention de faire souffrir l’animal, pensant qu’il était coincé sous sa voiture.
Témoignages attestent d’un acte de cruauté envers l’animal
Malgré les hurlements de la femelle berger belge croisée allemande âgée de 13 ans, l’accusé a continué à avancer sur la route sans s’arrêter ni sortir de son véhicule. L’octogénaire a réagi en disant : « Être traité comme un criminel, c’est agaçant. Il s’agit d’un accident. ». De leur côté, les propriétaires de la chienne estiment que l’accusé a commis un acte de cruauté envers l’animal. Leur avocate a souligné que le conducteur avait eu le temps d’éviter la chienne et a déploré son manque de remise en question.
Le jugement mis en délibéré et des sanctions requises
Le jugement a été mis en délibéré et sera prononcé le 30 novembre prochain. La procureure, quant à elle, a requis une amende de 5 000 euros ainsi que l’annulation du permis de conduire de l’accusé, considérant la gravité de l’acte. Cette affaire s’inscrit dans une série de récentes affaires de maltraitance animale qui ont ému l’opinion publique en France.
source originale : www.20minutes.fr
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