Complément d’enquête du 5 mars. Planqué derrière des sacs de sable au milieu d’autres combattants, ce plombier français qui a préféré garder son anonymat par peur des représailles contre sa famille, a été blessé par balle au niveau du bras. Sa blessure l’oblige à quitter le front pour un moment mais il ne s’avoue pas le moins du monde vaincu pour autant.
“Je fais ça pour une cause. Pour mon pays et pour l’humanité, parce que ce ne sont pas des humains…Je serais mieux en France, oui, c’est sûr, mieux qu’ici…Ici, oui, on défend aussi la France !”]]>