Selon une étude publiée récemment par l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques (Insee), le département du Vaucluse se distingue par son faible nombre d’enseignes de hard discount sur son territoire. Cette situation, loin d’être anodine, peut s’expliquer par divers facteurs tels que la concurrence accrue dans le secteur de la grande distribution, l’implantation de grandes surfaces commerciales dans des zones plus avantageuses ou encore les préférences d’achats des consommateurs. Quoi qu’il en soit, cette réalité économique ne manquera pas d’interpeller les acteurs locaux et les pouvoirs publics soucieux de répondre aux besoins des consommateurs.
30% des supermarchés adhèrent au hard discount alimentaire
Selon une étude de l’Insee publiée en juillet 2023, environ 30% des supermarchés sur l’ensemble du territoire français font partie d’un réseau de hard discount alimentaire.
Le taux d’adhésion varie selon les régions
En revanche, en 2020, seules entre 26% et 32% des supermarchés dans le Vaucluse et aucun dans la région Corse n’appartiennent à une enseigne de hard discount. À l’inverse, plus de la moitié des supermarchés de certains départements du nord-est de la France, tels que la Meurthe-et-Moselle, la Moselle, les Vosges, le Territoire de Belfort et la Meuse, sont des enseignes de hard discount. La raison principale est géographique, les principales enseignes de hard discount venant d’Allemagne.
Le concept de hard discount
Le concept de hard discount, qui a vu le jour en Allemagne dans les années 40, implique des prix inférieurs à la moyenne et une diversité de produits limitée. Les magasins les plus connus en France sont Lidl, Leader Price et Aldi.
source originale : actu.fr
mode d’écriture : automatique par IA