Les arguments du gouvernement Selon le rapporteur du projet de loi, Jean-Jacques Urvoas, le but légitime vise avait tout à traquer les terroristes qui usent des moyens de communication pour parvenir à leurs fins. Le gouvernement compte ajouter deux nouveaux motifs à la collecte de données hors de toute procédure judiciaire. L’un des motifs comprend « la prévention des violences collectives de nature, à porter gravement atteinte à la paix publique ». Le gouvernement table sur les sondages qui révèlent que 57% des français trouvent justifiés la surveillance généralisée des échanges sur internet, en sachant qu’elle risque de porter atteinte aux libertés individuelles.
France : le projet de loi sur le renseignement interpelle les militants des libertés individuelles
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