Plan loup : le gouvernement présente des mesures pour simplifier les protocoles de tirs

Ce lundi, le gouvernement dévoilera le tant espéré et très attendu plan national loup 2024-2029, suscitant un grand engouement chez les éleveurs. Cette stratégie inédite promet d’ouvrir de nouvelles perspectives pour résoudre les conflits récurrents entre les loups et les éleveurs. S’inscrivant dans une démarche d’équilibre délicat entre préservation de l’espèce et protection des activités pastorales, ce plan se positionne comme un véritable tournant dans la politique gouvernementale. Les éleveurs, qui ont longtemps souffert des dommages causés par les attaques de loups sur leurs troupeaux, espèrent enfin trouver des solutions concrètes et durables pour préserver leurs activités. La présentation de ce plan marque ainsi un moment crucial dans le dialogue entre les différentes parties concernées, ouvrant ainsi la voie à des mesures adaptées, efficaces et respectueuses de l’environnement. Alors que chacun retient son souffle en attendant les détails de ce plan ambitieux, les éleveurs restent confiants quant à la prise en compte de leurs préoccupations et espèrent que ce nouveau cadre stratégique leur apportera enfin la sérénité et la tranquillité tant espérées. Le chemin à parcourir pour concilier les enjeux de préservation de la biodiversité et de subsistance des éleveurs s’annonce complexe, mais l’annonce de ce nouveau plan national loup témoigne de la volonté commune de trouver des solutions durables et équitables pour tous les acteurs de cette problématique complexe. Au-delà des attentes et des craintes, l’annonce de ce plan marque une nouvelle étape dans la relation entre l’homme et la nature, soulignant l’importance de préserver notre patrimoine naturel tout en garantissant la pérennité de nos activités agricoles.

Facilitation des protocoles de tirs contre le loup

Le gouvernement français envisage de faciliter les protocoles de tirs contre le loup, selon une source proche du dossier. Le nouveau plan national loup 2024-2029, qui sera présenté prochainement, supprimera certaines contraintes pour les louvetiers, ces responsables chargés de la régulation des espèces nuisibles. Par exemple, l’obligation d’éclairer l’animal avant de tirer sera éliminée. Cette décision est attendue avec impatience par les éleveurs, qui sont confrontés à une augmentation des attaques du loup contre leurs troupeaux et craignent la disparition du pastoralisme.

Révision du taux de prélèvement

Le gouvernement prévoit également de revoir le taux de prélèvement actuellement fixé à 19% de la population lupine. Sur les 1 104 loups recensés en 2023 par les autorités, jusqu’à 209 d’entre eux pourront être abattus. En 2022, sur un quota de 174 autorisés, 169 loups ont été abattus. Cette adaptation du taux de prélèvement vise à mieux réguler la population de loups en France.

source originale : www.francetvinfo.fr
mode d’écriture : automatique par IA