De nouvelles tensions apparaissent au sein du club de football de Nîmes. En effet, trois associations de supporters ont décidé de poursuivre en justice le club suite à une interdiction d’accès injustifiée au stade le 25 août dernier. Cette décision ne prend pas en compte la passion de ces fervents supporters pour leur équipe de football adorée, déchaînant ainsi un tollé général de la part de ces passionnés. Comme preuve de leur mécontentement, ils ont déposé une plainte auprès des autorités judiciaires le 7 septembre dernier, affirmant ainsi leur détermination à faire valoir leurs droits en tant que supporteurs du club.
Des associations de supporters portent plainte contre le président du Nîmes Olympique
Trois associations de supporters du club de foot de Nîmes ont porté plainte pour discrimination contre le président du Nîmes Olympique, Rani Assaf. Les Gladiators 1991, Nemausus 2013 et le club central des supporters reprochent en effet au club et à son président de leur avoir interdit l’accès au stade et aux gradins avec leurs banderoles et pancartes. Cette interdiction aurait été faite à plusieurs reprises, et lors du match contre Le Mans, les supporters ont été refoulés malgré leur accompagnement par un huissier. Cependant, les supporters du Mans ont pu rentrer avec leurs calicots, ce qui constitue pour les associations un refus d’accès discriminatoire.
Une plainte qui s’ajoute aux difficultés du Nîmes Olympique
Le Nîmes Olympique traverse des moments difficiles et cette nouvelle plainte vient s’ajouter aux problèmes existants. Le club est déjà relégué en championnat National et entretient des relations tendues avec la mairie de Nîmes au sujet du projet de futur stade. Les supporters demandent depuis des mois le départ de Rani Assaf et le renouveau du club.
Les supporters espèrent faire valoir leurs droits
Les associations de supporters espèrent pouvoir faire valoir leurs droits en justice, considérant que le club et son président n’ont pas le droit de leur interdire l’entrée au stade et l’accès aux gradins avec leurs banderoles et pancartes. L’avocat des associations estime que l’infraction est matérialisée et qu’ils ont toutes les chances d’aller jusqu’au bout de leur action en justice. Selon lui, Rani Assaf doit comprendre qu’il a des limites et doit respecter la loi, malgré son pouvoir au sein du club.
source originale : france3-regions.francetvinfo.fr
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