Les faits se sont produites pendant les week-ends des 16 et 23 avril dans un club de la ville. Une enquête pour « administration de substance nuisible » a été ouverte. Pour déterminer s’il s’agit de GHB, la « drogue du violeur » ou non, des analyses toxicologiques sur les 3 femmes victimes sont en cours, a rapporté France Info
« J’ai été piquée dans une soirée…J’ai perdu connaissance pendant quelques minutes », a raconté une victime en ajoutant : « j’ai remarqué quelques jours après la marque d’une piqûre sur mon bras ».
Les signalements se sont multipliés en quelques semaines, 88 plaintes ont été au total déposées à Grenoble, Rennes, Béziers, Nantes et à Toulouse.
Piquées en boîte de nuit : trois plaintes déposées à Toulouse par des femmes https://t.co/bSvwIcN6wV @ladepechedumidi pic.twitter.com/js0oTRRCId
— L'important (@Limportant_fr) April 28, 2022