Marineland en justice suite à la triste mort prématurée d’une orque de 12 ans

Le matin de ce mercredi, les soigneurs du parc ont fait une macabre découverte : Moana, l’orque tant appréciée, gisait sans vie. Ce magnifique spécimen mâle avait à peine 12 ans lorsque le destin cruel en a décidé autrement. Une fin tragique pour une créature dont les associations déclarent habituellement qu’elle aurait pu vivre jusqu’à 70 ans en liberté, profitant des vastes étendues océaniques. La nouvelle de son décès précoce a suscité une profonde tristesse parmi le personnel du parc, ainsi qu’un sentiment d’incompréhension face à cette disparition prématurée. L’onde de choc se propage rapidement, attirant l’attention des médias et du grand public qui s’interrogent sur les raisons de cette perte précoce. Les spéculations vont bon train, donnant lieu à des théories parfois farfelues, mais tous s’accordent sur le fait que cette nouvelle est un coup dur pour la conservation de ces animaux majestueux. Les associations dédiées à la protection de la faune marine n’ont pas tardé à réagir, soulignant l’importance de préserver ces espèces en danger et de mener des enquêtes approfondies pour comprendre les causes de ce triste événement. Une chose est certaine, la mort de Moana ne passe pas inaperçue et suscite un élan de mobilisation pour la préservation de ces cétacés, dont la fragilité ne cesse d’inquiéter les scientifiques et les amoureux de la nature. Dans l’ombre de cette tragédie, les espoirs demeurent malgré tout, car chaque décès est une occasion d’en apprendre davantage sur ces créatures fascinantes et d’agir en conséquence pour préserver leur habitat naturel. Puissent les leçons tirées de cette perte prématurée guider les pas des générations futures vers un avenir dans lequel les orques, et toutes les créatures marines, pourront prospérer en toute quiétude.

Mort inexpliquée d’une orque à Marineland

Une orque nommée Moana est décédée de manière « soudaine et inattendue » dans la nuit de mardi à mercredi à Marineland, suscitant l’interrogation des défenseurs des animaux. Opposés à la captivité des cétacés, ils ont déposé une plainte pour actes de cruauté envers un animal tenu en captivité, abandon et exploitation irrégulière.

Les accusations des défenseurs des animaux

Des militants des droits des animaux accusent Marineland d’avoir causé la mort prématurée de Moana, un mâle orque âgé de 12 ans. Ils soulignent que dans la nature, les orques mâles peuvent vivre jusqu’à 70 ans. Selon Christine Grandjean, présidente de l’association C’est Assez !, le décès de Moana suscite de sérieuses interrogations, d’autant plus qu’il bénéficiait de soins médicaux, d’une alimentation régulière et d’un environnement sécurisé.

Les résultats de l’autopsie attendus

Marineland a réagi à ces accusations en annonçant qu’un examen post mortem avait été effectué en collaboration avec les autorités compétentes. Les premiers résultats de l’autopsie seront connus dans les prochaines semaines. Les associations de protection des animaux attendent avec impatience ces résultats pour éclaircir les circonstances de la mort de Moana.

Les actions en justice des associations

Face à cette situation, l’association One Voice a décidé de lancer une procédure en justice pour obtenir le rapport d’autopsie de Moana. Elle demande également un accès immédiat aux autres orques détenues par Marineland pour permettre leur examen par des spécialistes. En septembre, l’association avait obtenu une décision de justice obligeant Marineland à faire examiner Moana et une autre orque, Inouk, par un expert indépendant en raison de leur état de santé dégradé.

Des projets de relocalisation controversés

Avant l’été, l’ONG One Voice avait déclaré que le zoo d’Antibes envisageait de transférer les orques de Marineland dans un autre parc au Japon. Cela suscitait la controverse, car la loi française interdira la captivité des cétacés à partir de 2026. Cependant, la direction de Marineland n’avait ni confirmé ni infirmé ces informations, affirmant simplement étudier différentes possibilités de relocalisation.

source originale : www.20minutes.fr
mode d’écriture : automatique par IA