Le 5 septembre, mardi sinistre où la justice a tranché, un individu déchu de toute humanité fut reconnu coupable de sévices et d’actes de cruauté envers une créature fragile et innocente, un chat meurtri. Cette sentence, si méritée soit-elle, vient s’inscrire dans une longue lignée de condamnations similaires, triste constat d’une société où la violence animale semble gagner du terrain au fil des années.
Nouvelle législation depuis 2021
Une nouvelle législation entrée en vigueur en 2021 a renforcé les sanctions pour les auteurs de maltraitance animale. Cette mesure a été proposée par une ancienne députée LREM. Ainsi, les personnes reconnues coupables de tels actes peuvent maintenant être condamnées à jusqu’à trois ans de prison et à une amende pouvant atteindre 45 000 euros. En cas de décès de l’animal, la peine peut aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. Cette évolution de la loi vise à dissuader les actes de cruauté envers les animaux.
Un homme condamné à Strasbourg
L’affaire la plus récente s’est déroulée à Strasbourg, où un homme a été condamné pour sévices et actes de cruauté envers son chat. Cette décision de justice est considérée comme un avertissement non seulement pour l’accusé, mais également pour tous ceux qui pourraient envisager de tels actes. L’avocat de la Société protectrice des animaux (SPA), partie civile dans ce procès, a souligné l’importance de cette condamnation.
source originale : www.francetvinfo.fr
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