Récemment, les gardes-frontières français ont divulgué une saisie étonnante, localisée à l’aéroport de Roissy : une trouvaille de 718 têtes d’animaux menacés, incluant notamment 392 têtes de singes originaires du continent africain. On note également un intérêt accru, et de plus en plus d’actes de brigandage visant les bêtes exotiques résidant dans les parcs animaliers.
Sécurisation des parcs animaliers contre les vols d’animaux
De multiples parcs animaliers, dont Parrot World basé à Crécy-la-Chapelle dans le Val-de-Marne, sont confrontés à un phénomène déconcertant : le vol d’animaux. Ces espèces, allant des ours polaires aux animaux rares, sont prises pour cibles par des voleurs quasi-insaisissables. En réponse, les gardiens de ces refuges animaux ont commencé à installer des barbelés et autres mesures de sécurité pour tenter de freiner ces vols. À titre d’exemple, l’année dernière, deux hommes ont réussi à dérober deux perroquets de la structure de soins en escaladant habilement la balustrade de protection.
Interception des voleurs d’animaux
Les voleurs, ces passionnés d’animaux exotiques dans la vingtaine, ont toutefois été rattrapés deux jours après l’incident grave. Malheureusement, le traumatisme de l’incident a eu des conséquences dévastatrices : un des perroquets a succombé, tandis que l’autre a été ramené chez lui.
E-Commerce illicite d’animaux dérobés
Outre le défi sécuritaire, ces parcs animaliers doivent faire face à une autre réalité sombre : le trafic en ligne épanoui de leurs pensionnaires dérobés. Il n’est pas rare que les animaux volés soient mis en vente sur les plateformes de médias sociaux, comme ce fut le cas au zoo de Lille, avec quatre tortues grecques protégées et un martin-pêcheur rare récemment disparus.
source originale : www.francetvinfo.fr
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