Cette femme qui est connue pour avoir crié « Macron destitution, Macron décapitation, Macron explosion » pendant une manifestation de gilets jaunes en septembre 2020 à Paris a été jugée ce lundi devant le tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne.
Selon elle, ce n’était pas une menace de mort mais un slogan historico-politique, c’était une référence au jugement et à l’exécution de Louis XVI en 1793. Elle a également déclaré qu’elle ne visait pas Emmanuel Macron en personne mais sa fonction qu’elle considère comme un destructeur et dictateur de la République.
La Marnaise était également poursuivie pour « outrage » envers deux institutrices de Suippes, elles faisaient porter le masque à des élèves durant une activité physique dans un parc, a rapporté France Bleu.