Une très forte odeur de “pourri” s’est fait ressentir cette nuit à Paris. Parmi les explications évoquées : la marée rouge à Los Angeles (mais peu probable à Paris), ou encore l’odeur des égouts suite aux intempéries.
Mais une autre hypothèse troublante agite la toile. Celle d’une tentative de désinfection du coronavirus par le gaz dans les rues et l’air, via le dioxyde de souffre.
En effet, lors de l’épisode de forte odeur, le taux de de NO2 (Dioxyde d’Azote), était anormalement élevée en région parisienne :
Et 2h plus tard, ce “nuage” rouge avait disparu. Or, on retrouve des cas similaires avec des taux élevés de dioxyde de souffre à Wuhan, en février 2020, et seulement la nuit :
⚡ Données inquiétantes : plusieurs villes touchées par le #coronavirus, comme #Wuhan ou #Chongqing, ont un taux de dioxyde de souffre excessif et anormalement élevé. Le dioxyde de souffre est associé avec la combustion d'éléments organiques. (@inteldotwav) #WuhanCoronavirus pic.twitter.com/FP8szopNzt
— Conflits (@Conflits_FR) February 9, 2020
Le dioxyde d’azote, dont la concentration était anormalement élevée cette nuit à Paris, est un catalyseur… du dioxyde de souffre, lequel peut être utilisé comme gaz désinfectant.
There's a new way to disinfect areas during a virus outbreak: Drones#CoronavirusChina #Coronavirus #新型肺炎 pic.twitter.com/P2uScRuLZZ
— Bloomberg QuickTake (@QuickTake) February 5, 2020
Ainsi, les autorités chinoises ont désinfecté des villes entières avec du gaz, en demandant aux habitants de rester cloîtré chez eux, comme l’explique cet article de Courrier International.
Y a-t-il eu une désinfection géante visant le coronavirus dans Paris cette nuit ? C’est l’hypothèse qui agite la toile…