Famille ukrainienne menacée d’expulsion trouve refuge dans l’Hérault – regardez la vidéo

Après maintes démarches et négociations, un nouvel établissement a été découvert pour les six familles hébergées par la commune d’Assas, depuis l’avènement de la guerre en Ukraine. Ce centre de substitution, situé au nord de Montpellier dans l’Hérault, a été choisi pour sa proximité avec les infrastructures de transport, ainsi que pour sa capacité à offrir les mêmes commodités que celles dont jouissaient les résidents précédemment. Bien que cette migration soit difficile pour tous les habitants impliqués, il est indispensable que les familles aient une sécurité et une qualité de vie décente. Par conséquent, la localité et d’autres organisations gouvernementales ont travaillé ensemble pour trouver une solution alternative à court terme pour ces réfugiés de guerre, qui ont tant souffert dans leur pays d’origine.

Des familles ukrainiennes relogées à Assas

Six familles ukrainiennes ont trouvé refuge à Assas, au nord de Montpellier, depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022. Cependant, elles devaient quitter les lieux d’ici le 31 août car les locaux communaux ne sont plus adaptés à leur vie quotidienne.

Une solution de relogement proposée prochainement

Les six familles ukrainiennes vont finalement pouvoir être relogées près de Montpellier. Andréii et Luidmyla, originaires d’Odessa, ont fui leur pays peu après le début de l’invasion lancée par la Russie le 24 février 2022, et souhaitent rester en France. Ils ont été logés dans un gîte communal avec cinq autres familles mais ce lieu n’était plus adapté à leur vie quotidienne. La mairie d’Assas a annoncé une solution prochainement proposée au cas par cas.

Des témoignages de soulagement et de préoccupation pour l’avenir

Les réfugiés ukrainiens ont exprimé leur soulagement suite à l’annonce de la solution de relogement. Andréii souhaite s’intégrer et travailler en France, il ne veut pas retourner à Odessa. Luidmyla a peur de retourner en Ukraine et veut rester en France pour son fils qui est intégré ici. Klyne Vanel, présidente de l’association Mots clés pour l’avenir, a réclamé une solution au cas par cas pour répondre au mieux à chaque situation. La mairie d’Assas n’a pas souhaité commenter ce dossier pour le moment.

source originale : france3-regions.francetvinfo.fr
mode d’écriture : automatique par IA