Le 29 août dernier, un triste événement a secoué la ville de Brest. Gilles Grannec, un commissaire-priseur apprécié de tous, a été victime d’une agression qui lui a valu plusieurs coups de couteau. Le meurtrier présumé, qui a rapidement été appréhendé grâce à un appel effectué auprès des forces de l’ordre pour se dénoncer, n’a cessé de réitérer ses aveux durant sa garde à vue. Cependant, les raisons profondes derrière cet acte brutal demeurent un mystère pour l’instant. Depuis sa mise en examen pour meurtre sur officier public et ministériel, l’individu a été placé sous écrou. Cette terrible nouvelle a bouleversé l’ensemble de la communauté brestoise, qui peine à comprendre pourquoi une telle tragédie a pu avoir lieu.
Gilles Grannec, commissaire-priseur poignardé à mort
Gilles Grannec, commissaire-priseur de 55 ans, a été poignardé à plusieurs reprises dans un immeuble brestois le mardi 29 août. Le suspect s’est dénoncé à la police après le meurtre et a réitéré ses aveux tout au long de la garde à vue. Ses motivations restent inconnues. Il a été mis en examen pour meurtre sur officier public et ministériel et écroué.
Un expert immobilier mortellement poignardé
Gilles Grannec a été poignardé à plusieurs reprises alors qu’il venait expertiser un tableau dans un immeuble brestois. Quelques minutes après le meurtre, un homme inconnu a appelé la police pour se dénoncer. Le Procureur de la République de Brest déclare que l’homme a reconnu être l’auteur des faits mais n’a fourni aucun mobile ni explication rationnelle. Le suspect a été mis en examen pour meurtre sur officier public ou ministériel. Il encourt la réclusion à perpétuité.
Un suspect proche de l’extrême-droite soupçonné
Le suspect, Philippe P., est connu pour avoir été victime d’un jet d’ammoniaque par des militants antifascistes lors d’une conférence à l’université de Rennes-2 en 2014. Il se décrit sur internet comme étant un ancien élève de HEC et passionné d’histoire. Pour le moment, il n’y a aucun élément qui permet de savoir s’il y a eu préméditation et il est peu probable que les deux hommes se soient disputés avant le passage à l’acte du suspect.
source originale : france3-regions.francetvinfo.fr
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