L’appel de la chef du gouvernement était pour l’élimination de divers extraits du bouquin « La Secrète », paru le 4 mai.
La salle d’audience du Tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine) prononce son verdict concernant la Première ministre
Lors d’un récent procès au pretoire de Nanterre, situé dans les Hauts-de-Seine, Elisabeth Borne, notre Première ministre actuelle, a obtenu un jugement mixte à la suite de sa requête pour l’élimination de divers paragraphes dans toute nouvelle parution ou réédition du bouquin « La secrète« . En effet, l’écrivaine Bérengère Bonte, reconnue par son travail à FranceInfo, a publié ce biographique le 4 mai sous l’égide des éditions de l’Archipel.
Quant aux détails de la sentence, Elisabeth Borne a été désavouée dans son intégralité concernant ses requêtes se rapporants à des détails sur son état de santé et sa vie familiale. Le tribunal a actualisé son verdict en plaçant au-dessus du reste, le « droit légitime du public à être informé », comme il a été indiqué dans les termes du verdict prononce le vendredi 30 juin.
Verdict partiellement favorable, l’éditeur fait appel
Par contre, la frondeuse Première ministre a reussi à obtenir la suppression de certaines sections du livre la concernant, spécifiquement en ce qui concerne son orientation sexuelle, si jamais une seconde édition du livre devait voir le jour. Par rapport à ceci, le jugement stipule également que l’éditeur doit payer une somme de 2 000 euros à la ministre. Néanmoins, face à cette décision que le Tribunal de Nanterre a fermement déclarée, l’éditeur en question a depuis décidé de faire appel.
