Alpes françaises en lice pour accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver 2030!

Dans le cadre d’une conférence de presse tenue mardi, le Comité national olympique et sportif français a levé le voile sur les quatre sites envisagés pour recevoir la plus grande partie des compétitions.

La France accélère vers les jeux olympiques d’hiver de 2030

Six ans après les Jeux olympiques de Paris en 2024, la France espère devenir une fois de plus la vitrine du sport en se proposant comme hôte des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2030. Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) a officiellement annoncé sa candidature pour cet événement sportif mondial le 7 octobre dernier. Les jeux pourraient avoir lieu du 8 au 24 février 2030 dans les Alpes françaises, succédant ainsi à ceux de Milan et Cortina d’Ampezzo en 2026.

Des jeux respectueux de l’environnement et du patrimoine

La candidature de la France repose sur l’utilisation de 95% d’infrastructures déjà existantes dans les régions de l’Auvergne-Rhône-Alpes et de la Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les lieux de compétition seront répartis dans toute la chaîne montagneuse, de Nice Côte d’Azur à Briançonnais en passant par la Savoie et la Haute-Savoie. Par ailleurs, les organisateurs français ont mis en avant le caractère sobre et respectueux de l’environnement de ces jeux. Cela s’est traduit par la planification de la construction d’une seule nouvelle infrastructure : une patinoire à Nice.

La double attribution 2030 – 2034

En plus de la candidature de la France pour 2030, le Comité international olympique (CIO) envisage une double attribution pour les jeux de 2030 et 2034. Ce processus avait été utilisé précédemment pour attribuer simultanément les jeux d’été de 2024 à Paris et de 2028 à Los Angeles. Cela pourrait offrir une sécurité précieuse dans un contexte économique incertain et assurer des hôtes climatiquement fiables jusqu’en 2034. Cependant, la France se concentre uniquement sur 2030, Salt Lake City étant en bonne position pour 2034, selon David Lappartient, président du CNOSF. La décision finale est attendue pour l’été ou l’automne 2024.

source originale : www.francetvinfo.fr
mode d’écriture : automatique par IA